Archive pour le ‘Dessin’ catégorie

En route…

7 décembre 2009

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« Nous sommes tous les témoins d’une nouvelle époque de violents conflits mondiaux, et nous sommes tous hantés par le spectre d’une catastrophe environnementale à l’échelle globale qui entraînerait la fin de notre monde. La Route résonne donc dans notre psyché collective avec la force d’un cauchemar universel.

Nous nous sommes beaucoup documentés sur les sinistres provoqués par l’homme et les catastrophes naturelles, et cela nous a poussés à nous intéresser à La Nouvelle-Orléans après le passage de Katrina, au volcan Mount St. Helens dans l’Etat de Washington, et aux bassins miniers du centre de la Pennsylvanie et autour de Pittsburgh où le paysage a été complètement ravagé par l’industrie minière. Nous avons ensuite fait un mélange de tout ce que nous avons vu, c’était un peu comme reconstituer un immense puzzle. » John Hillcoat

Références:
Nathan Fox
La Route

Superpositions…

7 décembre 2009

Références:
Ripovisuals.com
Blog ripovisuals

La nature est vivante…

1 décembre 2009

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De quoi nous faire réfléchir, non ?

« Nous les indiens quand nous disions, la nature est vivante, la forêt a des esprits, l’eau est vivante, les montagnes sont vivantes…

Que nous répondait le monde occidental ?

Que nous avions des mythes, que le fait de croire en cela nous mettez en marge du monde civilisé et donc que nous étions sous-développé… parce que nous croyons que la nature, que tous les êtres sont vivants. » Mónica Churi, indienne Shuar.

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« Parmi tous les concepts imaginés autour de la positivité de l’économie néolibérale, celui de croissance économique comme base du développement social, est l’un des plus connotés, symboliquement et politiquement. Ce concept est taillé à la mesure des illusions et utopies du néolibéralisme et du capitalisme tardif. L’économiste néolibéral croit aux attributs et aux vertus magiques de la croissance économique, avec la même foi que le fidèle croit en l’épiphanie de la volonté divine. Ce serait comme une sorte de « doxomancie », dans laquelle la seule énonciation de la croissance économique se convertirait par magie, en réalité. » FG, Tlaxcala

Radiographie d’un « sous »-continent américain en pleine mutation. Construire une nouvelle forme de coexistence citoyenne, dans la diversité et en harmonie avec la nature, pour atteindre le bien vivre, le Sumak Kawsay.

Après cinq cents ans de pillage ininterrompu de ses ressources naturelles et de violentes répressions, L’Amérique Latine est à un moment décisif de son histoire avec l’arrivée au pouvoir d’une série de présidents progressistes, tous élus démocratiquement, et qui pour la plupart ne sont pas issus des institutions politiques traditionnelles. Leur programme ? Résoudre les terribles challenges posés par les inégalités et l’exclusion sociale. Leur succès dépendra largement de la consolidation de liens économiques et politiques au sein du sous-continent, pour rendre aux latino-américains la maîtrise de leurs destinées, et rompre la dépendance les modèles économiques du Nord.

Quelque chose est en train de se passer en Amérique latine

L’Amérique Latine à la reconquête d’elle-même de Gonzalo Arijòn
2009 – France – 112 minutes

Références:
Eduardo Galeano
Arte
La francolatina
Sumak Kawsay, Le Bien Vivre, en langue quetchua.
Minga global
Larevolucionvive.org

5 ans du mur rue de Verneuil…

5 novembre 2009

Anthropocène…

26 octobre 2009

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Anthropocène earthbreak, 2009.
60 cm x 80 cm, impression numérique.

La Terre est entrée dans une nouvelle ère géologique : l’anthropocène. Ce néologisme a été proposé par le Néerlandais Paul Crutzen, Prix Nobel de chimie (1995), pour décrire l’impact croissant de l’humanité sur la biosphère. Cet âge a, selon lui, débuté autour de 1800, avec l’avènement de la société industrielle, caractérisé par l’utilisation massive des hydrocarbures. Depuis, la concentration atmosphérique en dioxyde de carbone produit par leur combustion n’a cessé d’augmenter. L’accumulation de ce gaz à effet de serre contribue au réchauffement de la planète.
Dans le numéro de décembre de la revue Ambio, Paul Crutzen détaille les bouleversements qui marquent l’entrée dans l’anthropocène. Avec Will Steffen, spécialiste de l’environnement à l’université nationale australienne de Canberra, et John McNeill, professeur d’histoire à la School of Foreign Service à Washington, il cosigne un article intitulé « L’anthropocène : les humains sont-ils en train de submerger les grandes forces de la nature ? » Après avoir modifié, ces dernières cinquante années, son environnement comme jamais auparavant en perturbant la machinerie climatique et en détériorant l’équilibre de la biosphère, l’espèce humaine, devenue une « force géophysique planétaire », doit maintenant agir très vite pour limiter les dégâts. Mais sera-t-elle capable de relever ce défi ? C’est la question que se posent les trois chercheurs.

Suite de l’article tiré du BLOGVERT, article de Christiane Galus.

à développer… un choix à faire !

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