Archive pour octobre 2009

Un monde trop plein…

30 octobre 2009

Sans Claude Lévi-Strauss… l’humanité doit rester créatrice ! Avec notre pensée domestiquée sur la pensée sauvage commune à tous.

« Ce que je constate : ce sont les ravages actuels ; c’est la disparition effrayante des espèces vivantes (……) et le fait que du fait même de sa densité actuelle, l’espèce humaine vit sous une sorte de régime d’empoisonnement interne – si je puis dire – et je pense au présent et au monde dans lequel je suis en train de finir mon existence. Ce n’est pas un monde que j’aime. » Cette déclaration de Claude Lévi-Strauss en 2005 peut surprendre, pourtant l’ethnologue avoue depuis longtemps exécrer la société dans laquelle il vit. Infiniment plus proche des peuples primitifs qu’il étudie, des peuples qui sont écologistes pour survivre, Lévi-Strauss dénonce le mépris de l’Occident pour le savoir -notamment médicinal- des Indiens.

Référence:
I.N.A.

Anthropocène…

26 octobre 2009

null
Anthropocène earthbreak, 2009.
60 cm x 80 cm, impression numérique.

La Terre est entrée dans une nouvelle ère géologique : l’anthropocène. Ce néologisme a été proposé par le Néerlandais Paul Crutzen, Prix Nobel de chimie (1995), pour décrire l’impact croissant de l’humanité sur la biosphère. Cet âge a, selon lui, débuté autour de 1800, avec l’avènement de la société industrielle, caractérisé par l’utilisation massive des hydrocarbures. Depuis, la concentration atmosphérique en dioxyde de carbone produit par leur combustion n’a cessé d’augmenter. L’accumulation de ce gaz à effet de serre contribue au réchauffement de la planète.
Dans le numéro de décembre de la revue Ambio, Paul Crutzen détaille les bouleversements qui marquent l’entrée dans l’anthropocène. Avec Will Steffen, spécialiste de l’environnement à l’université nationale australienne de Canberra, et John McNeill, professeur d’histoire à la School of Foreign Service à Washington, il cosigne un article intitulé « L’anthropocène : les humains sont-ils en train de submerger les grandes forces de la nature ? » Après avoir modifié, ces dernières cinquante années, son environnement comme jamais auparavant en perturbant la machinerie climatique et en détériorant l’équilibre de la biosphère, l’espèce humaine, devenue une « force géophysique planétaire », doit maintenant agir très vite pour limiter les dégâts. Mais sera-t-elle capable de relever ce défi ? C’est la question que se posent les trois chercheurs.

Suite de l’article tiré du BLOGVERT, article de Christiane Galus.

à développer… un choix à faire !

Business as usual

Mitigation

Le gabian

23 octobre 2009

Le Goéland leucophée (Larus michahellis)
null
null
null
null

Extrait : Cet oiseau a une répartition essentiellement méditerranéenne mais se reproduit jusque sur le littoral atlantique français et diverses îles (Açores, Madère, Berlengas et les Canaries). Il niche généralement sur des îles rocheuses proches du littoral ou des falaises côtières.

Espèce quasiment disparue au début du XXe siècle, la population connaît depuis quelques décennies une progression spectaculaire, au point d’être parfois considérée comme une espèce envahissante. En effet, faute d’espace suffisant pour accueillir l’ensemble des colonies sur le littoral, il a commencé à coloniser l’intérieur des terres, notamment les villes et les abords des fleuves.

Il trouve de la nourriture à foison sur les décharges et dans les rejets de bateaux de pêche industrielle. Cette modification du régime alimentaire est très certainement la cause de l’explosion de sa population.

Rats volants…

20 octobre 2009

null

Comment se faire pourrir par un gars nourrissant ses oiseaux, en le prenant en photo, pardi !

Le gars d’un certain age : « Il y en a un la semaine dernière… pour un peu… j’vous… ils vous cassent votre appareil, les gens ! Et chui pas un con moi, hein, attention ! Ouais… ouais, çà va… çà va… »

Marseille est en tension… sous tension. Un gars travaillant aux urgences d’un hôpital me dit que de plus en plus de bagarres se déclenchent quotidiennement pour des broutilles et c’est en augmentation. C’est surtout que çà parle fort ici… le verbe ne suffit plus.

null

Pour que les nuages s’amassent, que la pluie tout efface…

null

La terre ne fait plus de caprice ankylosée, elle bombe le dos change de visage et se disloque elle se consume à petit feu que faudrait-il enfin pour que les nuages s’amassent que la pluie tout efface que la pluie tout, efface. Que faudrait-il enfin ? Que faudrait-il, enfin ? F. Breut

Références:

A L’aveuglette, Terre d’ombre, Françoiz Breut 2008

Live Ce soir ou jamais

Limite…

16 octobre 2009

null
null
null