Archive pour novembre 2009

Les incertitudes…

29 novembre 2009

Références:
Vincent Courtillot

Crise écosophique…

26 novembre 2009

* l’écologie environnementale pour les rapports à la nature et à l’environnement,
* l’écologie sociale pour les rapports au « socius » [2], aux réalités économiques et sociales,
* l’écologie mentale pour les rapports à la psyché, la question de la production de la subjectivité humaine.

La racine « eco » dans son acceptation grecque originaire renvoie à oïkos, c’est-à-dire : maison, bien domestique, habitat, milieu naturel. Sophia signifiant en grec connaissance, savoir, sagesse, on peut approcher une traduction littérale de l’« écosophie » comme « sagesse de l’habiter », constitution par chacun de son propre milieu.

« Il y a des choses qu’on peut arriver à voir avec une espèce d’attention au caractère borné du territoire existentiel contraignant (à l’obéissance aux règles qu’on nous enseigne, etc.) et au caractère productif que peuvent avoir les gens qui échappent à ça. Ils vont le faire de manière catastrophique si on ne leur offre comme piste que la reterritorialisation dans le même territoire. Au contraire, ils peuvent avoir un rôle créatif si on construit avec eux un territoire différent mais qui ne renie pas le premier. Parce que, dès qu’on est dans la négation complète de quelque chose, on est dans la reterritorialisation au moins imaginaire dessus. C’est ce qu’on pourrait creuser en ce qui concerne le terrorisme. »

Références:
Félix Guattari
Entretiens du nouveau monde industriel 2009
Bernard Stiegler

Une singularité en temps fini….

25 novembre 2009

E=mc² Français…

23 novembre 2009

Une petite lettre conçue avec les citations d’Albert Einstein et envoyée pour le débat opportuniste construit par des communicants sur l’identité nationale 23/11/09 vers 14:30, non publié.

« Le nationalisme est une maladie infantile. C’est la rougeole de l’humanité. Le mot progrès n’a aucun sens tant qu’il y a des enfants malheureux. Le monde que nous avons créé est le résultat de notre niveau de réflexion, mais les problèmes qu’il engendre ne sauraient être résolus à ce même niveau. La vraie valeur d’un homme se détermine d’abord en examinant dans quelle mesure et dans quel sens il est parvenu à se libérer du Moi. La valeur d’un homme tient dans sa capacité à donner et non dans sa capacité à recevoir. La possession de merveilleux moyens de production n’a pas apporté la liberté, mais le souci et la famine. La politique c’est éphémère, l’État est notre serviteur et nous n’avons pas à en être les esclaves. L’environnement, c’est tout ce qui n’est pas moi. C’est cela être un citoyen Français. » E.A. Twins

Références :
Albert Einstein
Ce-soir-ou-jamais
http://Debatidentitenationale.fr/

Citations Albert Einstein:

La valeur d’un homme tient dans sa capacité à donner et non dans sa capacité à recevoir.
La recherche procède par des moments distincts et durables, intuition, aveuglement, exaltation et fièvre. Elle aboutit un jour à cette joie, et connaît cette joie celui qui a vécu des moments singuliers.
La plus belle chose que nous puissions éprouver, c’est le côté mystérieux de la vie. C’est le sentiment profond qui se trouve au berceau de l’art et de la science véritable.
La connaissance s’acquiert par l’expérience, tout le reste n’est que de l’information.
L’imagination est plus importante que le savoir.
L’homme solitaire pense seul et crée des nouvelles valeurs pour la communauté.
Je suis réellement un homme quand mes sentiments, mes pensées et mes actes n’ont qu’une finalité: celle de la communauté et de son progrès.
Je n’ai pas échoué, j’ai trouvé dix mille moyens qui ne fonctionnent pas.
Je n’ai pas de talents particuliers. Je suis juste passionnément curieux.
Il est hélas devenu évident aujourd’hui que notre technologie a dépassé notre humanité.
Il devient indispensable que l’humanité formule un nouveau mode de pensée si elle veut survivre et atteindre un plan plus élevé.
La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre.

Alternance des saisons de l’outre monde…

19 novembre 2009

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Après la bulle financière, la bulle de l’art contemporain. Explosera, explosera pas ? Ben Lewis a filmé cette aventure comme un polar.

Le 15 septembre 2008, le jour où Lehman Brothers faisait faillite, les oeuvres de Damien Hirst se vendaient pour plus de 70 millions de livres chez Sotheby’s. Depuis la fin de 2007, tandis que le reste de l’économie s’asphyxiait, la bulle de l’art n’avait cessé d’enfler. Mais un mois après la vente Hirst, le marché entamait sa dégringolade. Tourné comme un policier, le film de Ben Lewis révèle les pratiques du milieu et démonte le mécanisme de la spéculation à travers des interviews de critiques, commissaires-priseurs, galeristes et collectionneurs, dont certaines obtenues de haute lutte.

L’art s’explose, Royaume Uni , 2008, 90mn, ZDF.
Réalisateur: Lewis Ben

Références:
Arte
Don DeLillo,Outremonde, L’homme qui tombe.